Alors que s’ouvrait, le 24 mars 2021, le procès sur le massacre de Duekoué à Abidjan, à Paris débutait quelques jours plus tard, le 29 mars 2021, le procès du bombardement du camp -militaire- de Bouaké.
Étrange coïncidence, aussi bien à Abidjan qu’à Paris, les véritables commanditaires étaient partout sauf dans les box des accusés.
Étranges similitudes, les verdicts de ces bals de demi-vérités et de prestidigitations, sont tombés ce 15 avril 2021. La réclusion à perpétuité… À Abidjan, c’est le sous fifre Ouremi qui en paie le prix. À Paris, c’est un verdict pour le symbole.
Dans les deux cas, on a préféré laisser la proie pour l’ombre.
Ainsi va le monde ! Ainsi va la vie !
Contribution de Franck T.