A l’instar de l’ensemble des filiales africaines du groupe UBA, la Fondation UBA, branche de la banque du même nom, a procédé, vendredi 23 novembre 2018, au lancement de l’initiative ‘‘Each one teach one’’ à l’école internationale Claire Fontaine sise aux Deux-Plateaux les Vallons.
La forte pluie qui s’est abattue sur la capitale ivoirienne, vendredi 23 novembre dernier, n’aura pas eu raison de la détermination de la Fondation UBA. De nombreux membres du personnel de cette banque n’ont menagé aucun effort pour se rendre à l’école Claire Fontaine en vue de partager leur savoir dans des disciplines autres que la banque. Après la présentation de la banque, son fondateur ainsi que sa culture et son importance, Michel Boni, directeur monétique, par ailleurs pratiquant de Judo et du Jujuxo, a procédé à une demonstration d’arts martiaux à la grande joie des élèves.
« La Fondation UBA, très engagée pour la jeunesse, a décidé au délà de notre métier de banquier d’enseigner des valeurs aux enfants qui représentent l’avenir. Et ces valeurs, on les retrouve dans les arts martiaux. Ce sont le respect, la discipline, l’humilité, l’honnêteté… qui doivent suivre les enfants jusqu’au milieu professionnel. Les arts martiaux étaient la discipline bien adaptée pour pouvoir transcender le métier de banquier et ces valeurs que nous avons enseignées aux enfants. », a fait savoir Michel Boni, directeur monétique de ladite banque.
L’initiative ‘‘Each one teach one’’ a pour objectif de créer des opportunités permettant aux membres du personnel d’UBA de s’engager volontairement auprès de leurs communautés, en enseignant aux jeunes diverses activités telles que les langues étrangères, la musique et plus. A travers ces quatre principaux domaines d’intervention (éducation, environnement, autonomisation économique et projets spéciaux), la Fondation UBA, compte avoir un impact positif sur la vie des jeunes africains. Le directeur monétique, Michel Boni, soutient que la Fondation est prête à aller à l’intérieur du pays pour rencontrer d’autres élèves pour parler de la banque, sa culture et surtout faire savoir à leurs parents que leurs enfants ont la possibilité de bénéficier d’un compte bancaire qu’ils pourront manager à maturité.
Cyrille NAHIN