La victoire du candidat Donald Trump à l’élection présidentielle aux États-Unis d’Amérique (USA) en novembre 2024 sonne ainsi la fin des complots hourdis des dirigeants du monde entier contre leurs opposants, dans l’arène politique.
Donald Trump, comme Lula, a été traînassé devant les tribunaux. Tout comme l’ex-Président Lula sous Jair Bolsonaro avant son retour au pouvoir au Brésil, l’image présentée par l’administration Joe Biden de celui qui allait devenir le 47e Président des Etats-Unis d’Amérique a toujours été celle d’un homme peu fréquentable, indigne de confiance et donc inapte à diriger la première démocratie du monde. Des médias américains aux médias occidentaux notamment, chacun en a fait son chou gras.
Le peuple et les Grands Électeurs, vrais acteurs principaux incontestés et juges des élections dans cette démocratie en ont décidé autrement: déjouer tous les sondages, surtout les faux commandés par les parrains des anti-Trump tapis dans l’ombre aux USA et en Occident. En confondant ainsi tous les détracteurs américains et occidentaux qui pariaient négativement sur l’avenir politique de Donald Trump, leur 47e Président des États-Unis d’Amérique, le digne successeur de son grand rival, le Président Joe Biden, le peuple américain a donné un signal fort à tous les dirigeants qui, fort de leur pouvoir, s’adonnent à la politique politicienne.
Qui l’eût cru? Donald Trump a battu dans un duel politique épique, Harris, toujours bien douchée par les médias. Cette victoire de Donald Trump s’avère une grande leçon pour tous les dirigeants, une vraie invite à faire autrement la politique. Car l’on oublie trop souvent qu’en politique tout comme en amour, la figure tant dénigrée est toujours celle que tout le monde finit par aimer. L’ex-Président Sénégalais Macky Sall en sait-il face au duo Sonko-Diomaye?
Au moment où des élections se projettent dans plusieurs Nations, des mesures catholiques de non diabolisation tout azimut des candidats de l’opposition seraient les bienvenues désormais, de l’Amérique en Afrique, en passant par l’Europe, l’Asie et l’Australie, afin d’éviter le courroux du peuple, vrai juge des élections.
Nunva Pierrot