Les nombreux va-et-vient incessants du Président Ivoirien entre la France et la Côte d’Ivoire semblent attester des difficultés par lui rencontrées dans la validation de son projet de 4e mandat magistralement enveloppé dans la fameuse formule politique de « 2e mandat de la 3e République » par ses proches.
Les 23 janvier, 15 mars, 15 août et 1er novembre 2024, la Solution a foulé successivement le sol Gaullois, avec tous les effets financiers qui en découlent. Fin l’an 2024, il pourrait remporter dit-on, le record Guiness des déplacements des Chefs d’État Africains dans l’Hexagone tant boudé par les hommes forts du Sahel.
Toujours à la recherche selon les médias et les sources crédibles, de solutions à la problématique de son projet de 4e mandat. Ou à défaut, plaidoyer dit-on pour la validation de la dynastie familiale, en grillant son vice-président comme womi.
Mais les récents et longs séjours de TiThi en raison officiellement des Jeux olympiques olympiques auraient fermé toutes les entrées et sorties politiques au Matignon du Brave Tchè.
Parallèlement en Côte d’Ivoire, il est pris entre la soif ardente de ses partisans de s’éterniser au pouvoir et les voix chaudes et picotantes de Woody, TiThi, Simone, Soro et leurs partisans qui vomissent son projet de 4e mandat.
En Côte d’Ivoire, contrairement à un Woody qui pétrissait sur place en bon boulanger, quand la magnonaise politique ne prend pas et/ou plus, c’est le kérosène qui brûle sur le dos du pauvre contribuable depuis la prise du pouvoir par le Brave Tchè en 2011, surtout en ces dernières années de fin de 3e mandat qui attise allègrement l’appétit du 4e mandat tant contesté par la classe politique.
ADO réussira-t-il à convaincre ses parrains cette fois-ci, en dépit de la position de Sarko et du Petit? Monseigneur Kutwa n’avait il pas raison d’inviter les uns et les autres à savoir partir, quant il est encore possible ?
Nunva Pierrot