Abidjan, 24 Déc. (Event news TV) – La Côte d’Ivoire pays situé en Afrique de l’Ouest fini par concurrencer les plus grand pays vendeurs de drogue, pourquoi en sommes-nous arrivés là ? L’on ne saurait trouver une réponse à ce questionnement.
A l’image du film colombia’s du côté de la Colombie et du film la cité des Dieux avec l’acteur emblématique Zepekegno dans les favelas au Brésil, la Côte d’Ivoire finie par crée une image peu reluisante dans ce domaine avec les multiples fumoirs quelle à accepter volontairement de créer et qui participent volontairement à l’insécurité dans le Pays.
L’on a parfois envi de se poser la question si le gouvernement Ivoirien a sacrifié l’avenir des jeunes du Pays avec l’indifférence qu’il affiche avec la naissance de tous les Fumoirs dans le Pays.
Qui est derrière tout ce système ? , La question reste posée.
Aux portes de la capitale Economique Ivoirienne Abidjan, c’est l’insécurité dû aux fumoirs et à tous ces corolaires qui accueilli l’étranger dans le pays. Toutes les communes sont contaminées par le système au grand désarroi des autorités Ivoiriennes.
Dans plusieurs quartiers de la capitale Economique Ivoirienne les bruits de fusils se font couramment entendre au vu et au su des autorités Ivoiriennes et cela n’émeute personne, le Pays avance même dans l’insécurité.
De L’aéroport Félix Houphouët Boigny en passant par Koumassi, Marcory, Treichville, en passant par la commune des affaires le ‘’ Plateau’’ pour ensuite déposé les valises à Adjamé, Attecoubé, Yopougon la commune la plus populaire du pays et enfin terminé par Abobo, la commune du ministre de la défense du pays, Hamed Bakayoko, le pays est miné par les barons de la drogue.
En faisant un tour, à Abobo, Adjamé et Yopougon dans les quartiers Doukouré et Yaossehi l’étranger qui ne touche pas à la drogue finira par comprendre qu’il n’est pas le bienvenu.
‘’ A parti de 22 heure des agents des forces de l’ordre viennent ici mais ne rentre pas au fumoir mais reste au terre rouge où quelqu’un sort du fumoir pour les reconcentrés chaque jour mais nous ne savons pas de quoi ils disputent ‘’ a soutenu MK, résident dans le quartier Yaossehi dans la commune de Yopougon.
Au quartier Doukouré, un autre témoin ‘’SM’’ nous laisse entendre que la police, la gendarmerie et plusieurs autres entité bénéficient de perdième de 50000 par jour pour laisser l’activité fonctionnée normalement avec tous les inconvénients qui l’accompagnent.
« Si nous voulons protéger la paix en Côte d’Ivoire, dans les régions, les communes, les sous-préfectures et les quartiers et les villages les autorités doivent changer de stratégie face au problème de la drogue », à expliquer Dio Camille un résident du quartier derrière rail dans la commune d’Abobo.
Le trafic de drogue fini par devenir la principale menace à la paix dans le pays , nous osons espérés que les autorités Ivoirienne lutteront efficacement contre ce fléau.
Silvère Bossiei